ϟ NOM :: Williams ϟ PRÉNOM :: Matthew ϟ AGE :: 20 ans ϟ SEXE :: M ϟ OCCUPATION :: ici ϟ RELATIONS :: France, Angleterre, USA, Cuba ϟ TITRE PERSONNALISE :: ici
ϟ PRÉNOM/PSEUDO :: ici ϟ AGE :: 17 ϟ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? :: ici ϟ POURQUOI L'AVEZ VOUS CHOISI? :: ici
ϟ PHYSIQUE / MENTAL
10 lignes minimum pour le physique
Toutes les nations – et tout être humain, si l’on parle véritablement du pays et non pas du jeune homme qui l’incarne – s’accorderont pour qualifier Canada de personne pour le moins discrète, le regard imperceptiblement baissé et les joues rosies par l’embarras causé par le fait de l’oublier sans cesse. La voix douce, la parole tranquille et le regard fixé sur un quelconque élément des environs pour éviter celui de son interlocuteur, il s’agit en effet du genre d’individu que l’on oublie fort aisément. Et lui, timide comme il est, n’osera que très rarement exiger l’attention des autres comme le fait son frère de par son exubérance. Il préférera se résigner, esquisse un infime sourire désabusé et tourner ses prunelles améthyste vers Kumajirou qui lui demandera alors ‘‘Who ?’’, ce qui accentuera son sentiment… d’inexistence. Rarement pris en compte par ses congénères et porteur d’une culture inconnue de par le monde, il lui arrive parfois de se sentir insignifiant – ironique lorsque l’on sait qu’il représente la deuxième nation la plus vaste au monde. Cela lui confère une humilité excessive qui l’amènera à, dans les quelques moments où quelqu’un lui adresse la parole, considérer son interlocuteur de la même manière, avec indulgence et modestie, qu’il soit en face des Etats-Unis d’Amérique ou de la Bosnie-Herzégovine.
En vérité, le plus souvent, lorsque le Canada obtient l’attention des autres nations, ces dernières le confondent avec son frère, Amérique. Peut-être est-ce dû à une relative similarité de caractéristiques physiques, ou peut-être au fait qu’il vive constamment dans l’ombre de l’intéressé. Quoi qu’il en soit, cette confusion l’agace tout particulièrement. Après tout, le Canada et les Etats-Unis sont deux nations qui, malgré un irréfutable héritage culturel semblable, se différencient sensiblement l’une de l’autre. La flagrante opposition de leurs caractères ne le montre t-elle déjà pas assez ? Cela l’irrite d’autant plus que, dans la majorité des cas, cette absurde erreur s’avère avoir pour conséquence de lui valoir toutes les représailles originellement destinées à son jumeau. Ce dernier accumule donc les faux-pas et le pauvre Canada se retrouve souvent à subir le ressentiment des personnes concernées par les susdits faux-pas. Certes, cela ne l’empêche aucunement d’aimer tout particulièrement Alfred, comme un frère doit aimer son frère – voire plus –, mais il garde pour lui une certaine rancune qu’il ne laisse presque jamais paraître, trop tendre ou trop épeuré selon les situations pour l’accabler de reproches comme il le voudrait au fond de lui-même.
Se joignent à sa nature débonnaire une tolérance et un pacifisme sans bornes. La culture du Canada se constitue d’une multitude de cultures étrangères qui, apportées par les immigrants accueillis au pays, s’y sont développées jusqu’à devenir une partie de son identité, de la même manière qu’une graine timidement plantée dans le sol pousserait pour devenir une plante belle et solide, opiniâtrement enracinée dans cette terre qui l’a vue naître. Non-violent, rares ont été les guerres dans lesquelles il s’est impliqué et nulles seront assurément celles dans lesquelles il s’impliquera. Certains diront que son manque de combattivité, cette absence de ‘‘niaque’’, ce désir de ne point livrer bataille à quelque pays que ce soit contribuent à le rendre invisible aux yeux du monde entier. Cela se peut bien mais cela ne le détournera jamais de sa volonté de demeurer en paix. Tout de même, s’il se voit astreint de participer à une quelconque guerre – comme cela a notamment été le cas pour la Seconde Guerre mondiale, bien que l’on attribue généralement le mérite de ses actions à son ancien tuteur – pour Dieu sait quelles raisons, il le fera sans tergiverser une seule seconde. Canada est pacifiste, pas peureux.
Enfin, en vérité si, d’une certaine manière. Il ne s’agit aucunement de cette peur puérile et indéfinissable de par sa sordidité qui fait d’Amérique, l’outrecuidante superpuissance, un gamin tout juste bon à hurler devant un film d’horreur ; mais de craintes plus profondes – la plupart du temps, en tout cas. En premier lieu, la crainte d’être, un jour, oublié pour de bon, au point de se retrouver plus isolé qu’il ne l’est présentement, inexistant pour son jumeau lui-même le turlupine assez souvent ; celle, un peu moins viscérale, de devoir subir une énième fois les foudres d’une nation furieuse contre son susdit jumeau – qui, soit dit en passant, profite largement de cette fâcheuse ressemblance physique pour se tirer des situations désavantageuses. Celle, finalement, de mal faire et de décevoir lorsque l’on demande quelque chose de lui. Après tout, le fait qu’on exige quelque chose de lui entraîne dans un premier temps le fait qu’on le remarque, lui qui demeure la majorité du temps inaperçu ; de ce fait, transporté par la joie d’être avisé, il désire plus que tout satisfaire le besoin de la personne concernée pour lui paraître plus… évidente, ce qui s’avère en général n’être rien d’autre qu’un vain espoir. De plus, sa gentillesse aux limites aussi inexistantes qu’il peut le sembler à ses congénères le pousse à donner le meilleur de lui-même accomplir le mieux possible la tâche qui lui est confiée.
Cependant, si Canada se montre d’une bonhomie et d’une douceur incommensurables qu’exacerbe sa condition de nation invisible, il n’en demeure pas moins un homme qui, une fois les limites de son calme résigné atteintes, peut se montrer d’une acerbité et d’une violence tout aussi démesurées. Au jour d’aujourd’hui, il subsiste bien le seul être qui soit apte à rabaisser Amérique, à lui souligner chacun de ses défauts et chacune de ses erreurs avec une brutalité proche de la cruauté, jusqu’à l’en faire sangloter des heures durant. Et le hockey, sport appartenant autant à la culture canadienne que le football américain aux Américains – comme c’est étonnant… –, d’une virulence démesurée, celui lors duquel on peut apercevoir l’adorable Canada, de coutume toujours le teint rose et l’air excessivement tendre, vociférer d’horribles jurons et de sanglantes menaces à l’encontre de l’équipe adverse à celle qu’il supporte ne prouve t-il pas le côté violent de Matthew ?
Le susnommé est un fort inhabituel amalgame de qualités et de défauts que l’on croirait parfaitement incompatibles, et c’est cela qui fait de lui une personne qui mériterait plus d’attention portée à son extraordinaire personnalité. De même que les merveilles du pays qu’il personnifie.
ϟ HISTOIRE
20 lignes minimum pour l'histoire
France Le séducteur aux 2 facettes
Messages : 83 Date d'inscription : 16/03/2014 Localisation : Autriche, salle de bal
Identité Nom humain: Francis Bonnefoy Camp: Empire Expérience: 0/1000
Sujet: Re: Maple ! / Matthew Williams 8/8/2014, 00:55
Bienvenue ici (mon ancienne petite colonie) ♥
Danemark Le Roi de Scandinavie
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Sujet: Re: Maple ! / Matthew Williams 8/8/2014, 19:55
Bienvenue Vinland <3
Finlande La Fiancée de la Scandinavie
Messages : 26 Date d'inscription : 24/04/2014 Age : 25 Localisation : Le village du Père Noël !
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Sujet: Re: Maple ! / Matthew Williams 20/8/2014, 13:26
Bienvenue ! :D
Écosse Alba Gu Bràth !
Messages : 34 Date d'inscription : 11/03/2014
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Sujet: Re: Maple ! / Matthew Williams 30/8/2014, 13:01
Yosh !
Tout comme pour le gallois, j'viens au nouvelles parce que les trois semaines son dépassées.
T'en es où ?
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Sujet: Re: Maple ! / Matthew Williams
Maple ! / Matthew Williams
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